Maintenant que vous savez tout sur mon profil de copywriter freelance... on discute ?
Laissez-moi un message par ici ou envoyez moi un mail ! Je serai ravie d'échanger sur votre projet et de vous adresser un devis adapté à votre besoin de contenu éditorial.
Avant cela vous voulez en savoir plus sur mes références ou sur mon savoir-faire en tant que copywriter indépendante ? Consultez mes pages dédiées ou envoyez moi un message.
adelaide.delabourdonnaye@gmail.com
Pourquoi passer par un copywriter ou un rédacteur web freelance ?
Question super légitime.
Tout le monde sait écrire non ?
A priori, si vous êtes passé du CP au CE1, alors oui, en effet. Nous savons tous qu'il faut commencer une phrase par une majuscule et finir par un point. Et puis admettons qu'on soit tous au point sur les règles de grammaire, d'orthographe, de conjugaison et de typographie. OK.
En revanche, faire en sorte que ce texte permette de vendre un produit ou un service, vulgarise une notion très technique, ou donne envie d'être lu, ça c'est une autre paire de manche. Et c'est justement là que se niche l'expertise du copywriter.
Un copywriter, ça va encore me coûter bonbon cette affaire...
Comme tout service, un service de copywriting se paie. C'est une expertise qui mérite rémunération. Cependant, il ne faut pas envisager cette dépense comme une perte sèche, bien au contraire. Faire appel à un rédacteur professionnel pour rédiger vos contenus est une forme d'investissement. En fonction de vos objectifs marketing, le travail d'écriture qui va vous être fourni va vous permettre, s'il est bien fait, de dégager un ROI. Et cela même si votre objectif est avant tout orienté brand et non acquisition. Par effet de bord, amélioration de la notoriété, ou même atteinte du statut de "lovebrand", le copywriter va indirectement vous faire gagner des clients, et de l'argent.
Par ailleurs, payer un indépendant revient souvent bien moins cher que payer des charges patronales. A bon entendeur !
Et comment mesurer la performance du contenu marketing produit par mon copywriter ?
Le maniement de la plume n'est pas une science exacte. Tout seul un texte ne suffira pas à faire vendre. Il est toujours combiné à de nombreux autres leviers : graphisme, qualité du produit, construction de la landing page auquel il renvoie, notoriété initiale de la marque, canaux de diffusion, timing de diffusion, ciblage... En revanche, certains KPI vont vous permettre d'avoir une idée de se qui fonctionne et qui ne fonctionne pas. Il faut interroger les mesures de performances classiques des canaux traçables pour se faire une idée. Le taux d'ouverture d'un mail dépendra de son heure d'envoi et aussi de la façon dont son objet est formulé, par exemple. Si le taux de lecture supérieur à 10 secondes est bon, c'est aussi souvent au niveau des textes qu'il faudra chercher l'explication.
Pour les campagnes de notoriété par exemple, en TV, ou affichage, le mieux, au-delà de l'analyse des ventes qui est déjà un bon indicateur, et d'organiser des panels ou des études.
Tout ça pour dire que mesurer la performance d'un bon copywriting est difficile et toujours imparfait.
PS : attention à la subjectivité. Si un texte ne vous plait pas, si vous ne comprenez pas une référence, ça ne veut pas dire que la rédaction est mauvaise. Vous n'êtes peut-être tout simplement pas la cible !
Et un bon travail de rédaction SEO par contre ça se voit comme le nez au milieu de la figure non ?
La rédaction SEO campe clairement du côté de la performance marketing. On est pas là pour faire joli, on est là pour monter tout en haut des pages de résultat Google. Et ça, c'est intangible. En revanche, au-delà de la rédaction web, un bon référencement c'est aussi un bon SEO technique. Il faut que son site soit correctement indexé et qu'il possède une bonne architecture adaptée pour être bien référencé. La rédaction web ne fera pas tout. Il faut aussi une solide stratégie de backlinks.